Au lycée, l’étude du fait nucléaire est approfondie pour permettre à l’élève de se saisir des faits sociétaux contextualisés, et mieux comprendre les actions et engagements des personnages politiques et culturels. Les professeurs fondent leur enseignement sur une approche critique et comparative des sources. Le fait nucléaire est obligatoirement abordé dans plusieurs disciplines et peut être choisi, selon l’enseignement de spécialité, comme sujet d’étude à présenter à l’épreuve du grand oral.
Les travaux présentés ci-dessous sont des productions brutes réalisées par les élèves.
Discipline : Sciences de la vie et de la Terre
Établissement : Lycée Paul Gauguin
Niveau : 1 spé SVT
Année : 2021
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Un résumé de la démarche de mise en œuvre ou de création (5/6 lignes) :
Dans le programme officiel il est indiqué que « Des modifications du génome des cellules somatiques surviennent au cours de la vie individuelle par mutations spontanées ou induites par un agent mutagène ou certaines infections virales. Elles peuvent donner naissance à une lignée cellulaire dont la prolifération incontrôlée est à l’origine de cancers. ». J’ai donc choisis de travailler le lien existant entre radiation, mutations et apparitions de cancers.
Discipline : Histoire Géopolitique-Science Politique
Établissement : Lycée La Mennais
Niveau : Terminale
Année : 2022
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Terminal G1
De l’Antiquité au XXIème siècle, la conquête des mers et des océans a été essentielle, autant économiquement que militairement. En effet, plus de 70% de la surface terrestre est composée d’espaces marins, faisant de ces derniers des espaces stratégiques clés. Les Etats tentent donc par tous les moyens de les contrôler afin d’affirmer leur domination. Ainsi, comment les mers et océans permettent-ils aux puissances de s’affirmer ? Afin de répondre à cette problématique nous verrons dans un premier temps le rôle stratégique des mers et des océans pour les puissances, puis dans un second temps, nous aborderons les mers et océans comme des espaces majeurs de la dissuasion nucléaire et enfin, dans un dernier temps, les façons de projeter les forces militaires à travers les mers et océans.
En effet, les mers et les océans ont un rôle stratégique majeur pour les puissances. Dans un premier temps, nous pouvons souligner l’importance du “sea power”, qui permet aux Etats une prospérité économique grâce à une bonne gestion de leur flotte. En outre, cette notion de “sea power” fut développée par Alfred Thayer Mahan. Historien et amiral américain du XIXème siècle, selon lui, la détermination de la puissance est avant tout économique. Pour illustrer cette notion, il prend l’exemple de la marine britannique, une des, si ce n’est la plus puissante, des flottes de l’époque. Ainsi, selon lui, l’étendue du commerce maritime britannique est due à un facteur principal : le fonctionnement en symbiose de la marine marchande et de sa flotte navale de défense. Donc, l’expansion du commerce maritime doit être concomitante à la mise en place d’une flotte militaire afin de sécuriser les navires commerciaux, à la fois sur les routes maritimes, mais aussi à des points stratégiques. Cette pensée mahanienne va grandement influencer les Etats-Unis du XXème siècle dans ses interventions militaires, notamment à Cuba, aux Philippines et en Chine. On retrouve d’ailleurs grandement la pensée mahanienne dans la gestion de la flotte chinoise, qui allie efficacement l’économique au militaire à ce jour.
Cependant, il faut rappeler que les mers et océans ne sont pas que des axes de transports de marchandises mais aussi des espaces extrêmement convoités de par leurs ressources et leurs enjeux. Dans un premier temps, les espaces marins cachent un bon nombre de ressources, qu’elles soient halieutiques, minérales ou pétrolières. Ceci renforce son importance aux yeux des puissances, puisque les exploiter permet une certaine croissance économique. Ainsi donc, le contrôle d’une large surface océanique est capital. Afin de poser des règles et de limiter les conflits inter-étatiques, une soixantaine d’Etats ratifient la convention de Montego Bay en décembre 1982. Cette convention stipule la création des zones économiques exclusives (ZEE). Le texte la définit comme une bande limitée par la ligne des 200 milles nautiques (370 km) à partir de la ligne de base en l’absence d’autre rivage, toutefois, un pays a le droit de revendiquer l’extension de sa ZEE au-delà des 200 milles, jusqu’à 350 milles. La convention fixe les droits d’exploitation à l’intérieur des ZEE par les Etats souverains. Aujourd’hui il y a 157 États signataires de la Convention. Or, toutes les puissances ne sont pas égales au niveau naval, les Etats-Unis, la Russie, le Japon et l’Europe constituent des puissances navales principales, alors que d’autres pays comme le Brésil, l’Inde et la Chine constituent eux des puissances navales émergentes qui luttent tous contre la piraterie ou entre eux.
Également du fait que les mers et océans ont un rôle stratégique pour les puissances, ils sont aussi des espaces majeurs de la dissuasion nucléaire. La dissuasion nucléaire se fonde sur la peur, dans les deux camps, du recours par l’autre à l’arme nucléaire, elle consiste à prévenir un acte en persuadant l’acteur concerné que les coûts d’une telle action excèdent ses bénéfices. Le premier élément de la dissuasion est la possession d’une capacité nucléaire opérationnelle et crédible, opérationnelle puisqu’elle peut être mise en oeuvre dans des délais compatibles avec l’évolution d’une crise, et crédible puisque sela signifie qu’elle permet d’exercer en toutes circonstances des dommages suffisamment important pour dissuader l’adversaire. La mer est un enjeu important de la dissuasion nucléaire puisque les bases navales ainsi que les sous-marins d’attaque permettent une portée accrue, ils permettent de toucher des territoires extra-océanique qui ne pourraient être touchés avec des lanceurs basés sur terre. Cependant les puissances militaires océaniques possédant l’arme nucléaire sont hiérarchisées, d’un côté les puissances possédant une flotte navale et aéronavale non-conventionnelle comme l’Australie, les Philippines, le Brésil et le Canada par exemple, et les puissances disposant d’une flotte navale et aéronavale conventionnelle tel que les Etats-Unis, la Russie, La Chine, l’Inde ou la France. Cette dissuasion nucléaire se base sur des “capital ships”. On y retrouve d’un côté les SNLE : les sous-marins nucléaire lanceur d’engins, ils sont équipés en torpilles et en missiles à changement de milieu, des armes anti-navires pour son autodéfense, ils assurent, la garantie d’une frappe nucléaire de riposte. D’un autre côté on distingue les SNA : Les sous-marins nucléaires d’attaque, contrairement aux SNLE qui ont pour seule mission la dissuasion nucléaire, les SNA sont destinés à des missions de protection, de renseignement et de projection de puissance. C’est le nombre de SNLE qui permet de classer les puissances disposant d’une flotte navale et aéronavale conventionnelle ; on retrouve au top du classement les Etats-Unis avec 14 SNLE en 2019, la Russie qui en possède 11 puis la Chine avec 5 et la France ainsi que le Royaume-Unis avec tous deux à 4 et enfin l’Inde avec un seul SNLE.
Selon Emmanuel Macron les sous-marins d’attaque (SNA) représentent l’indépendance d’un pays, sa souveraineté et son statut de grande puissance dans le monde.
La pensée mahanienne, la convoitise des mers et océans aujourd’hui, la naissance de la dissuasion nucléaire dépendante de la mer et des “capital ship” permettent aujourd’hui aux puissances de projeter leurs forces militaires à travers les espaces marins. La projection de puissance maritime est une projection de puissance dans et à partir d’un environnement marin. Ainsi, les forces navales sont un outil diplomatique de premier choix. De ce fait, les décideurs politiques peuvent à tout moment déployer leurs forces navales sur les deux tiers de la planète sans devoir demander à l’avance à qui que ce soit, des permissions de déploiement. Alors que les forces navales ne sont pas immédiatement visibles ou détectables en mer, elles représentent une dissuasion conventionnelle pour des adversaires potentiels du fait de la rapidité de leur déploiement et de leur capacité à rester indéfiniment une menace. Donc, la présence de bases ainsi que des flottes partout sur le globe permet une réponse plus rapide en terme de dissuasion, on peut voire ceci avec les 7 flottes américaines, dispersées à des points stratégiques, assurent une domination du globe entier. Au contraire la Chine, elle, positionne ses bases au niveau de ses centres d’intérêts, notamment dans l’océan Indien et en mer de Chine méridionale afin d’affirmer sa présence et son contrôle militaire sur la zone.
Comme vu précédemment, les Etats ne sont pas égaux en ce qui concerne la puissance navale, on peut très facilement les hiérarchiser. Ainsi, c’est ce déséquilibre des puissances, en plus d’un besoin croissant des Etats d’affirmer leur puissance afin de protéger leurs intérêts, pousse une course à l’armement naval, ce qui entraîne des rivalités géopolitiques croissantes. En effet, on peut illustrer cela en prenant l’exemple de l’Inde, qui a construit son premier SNLE, le Arihant en 2009. Ce sous-marin, couplé avec un missile à longue portée (environ 5000km), le Agni V, lui permet de couvrir toute l’Asie. Ils dissuadent directement les pays belliqueux comme la Chine ou le Pakistan. Ce dernier d’ailleurs, avec d’autres pays comme la Corée du Nord, développent activement un programme de dissuasion nucléaire océanique, ce qui déplait fortement aux autres grandes puissances maritimes telles que les USA ou l’Europe. Aussi, la Chine développe beaucoup sa puissance maritime, devenant aujourd’hui la 2eme puissance navale du monde. Aussi les tensions sont fortes dans les zones maritimes conflictuelles, notamment en mer de Chine méridionale, en Amérique centrale, en Antarctique et au Nord-Est de l’Afrique.
En bref, les mers et les océans ont un rôle stratégique pour les puissances, ce qui est notamment dû à l’influence de la pensée mahanienne et à leurs enjeux. Ainsi donc ils sont devenues des espaces majeurs de la dissuasion nucléaire, puisqu’ils permettent une portée extra-océanique, grâce aux “capital ship”: les SNA et les SNLE. De plus, ces sous-marins permettent une projection de puissance de la mers vers la terre, ce qui a entraîné une course navale à l’armement ainsi que des rivalités géopolitiques qui sont en croissance.
Terminal G4
Nous savons que les mers et océans ont toujours eu une place importante pour les états et puissance d’hier et d’aujourd’hui. Et c’est ce que nous allons voir aujourd’hui, pour cela nous auront pour problématique de savoir comment les mers et océans permettent-ils aux puissances de s’affirmer ? Pour ce faire nous aurons trois parties. La première partie concerne le rôle stratégique des mers et océans pour les puissances, dans cette première partie nous verrons l’influence de la pensée mahanienne, puis la convoitise des mers et des océans de nos jours. Ensuite en seconde partie nous verrons les mers et océans qui sont des espaces majeurs de la dissuasion nucléaire, qui traite sur la dissuasion nucléaire maritime, et sur les capital ships de la dissuasion nucléaire océanique avec les SNLE et les SNA. Puis en dernière parties nous verrons en quoi les mers et océans permettent de projeter les forces militaires, a travers les capital ships qui permette une projection de puissance de la mer vers la terre, et de la course à l’armement naval et rivalités géopolitiques croissante avec différentes capacités de projection maritime.
Pour Alfred Mahan la puissance d’un pays passe par la suprématie maritime, dans ses livres il explique que pour être une suprématie maritime, les pays doivent répondre a 5 critères qui selon lui sont indispensable et complémentaire pour toute puissance maritime, le premier de c’est critères et le fait que les pays s’assurent un commerce extérieur qui les enrichissais, le second critères et le fait que les pays possèdent une marine marchande pour assurer ce commerce, puis en troisième critères viens le fait d’avoir une marine de guerre pour veillé a la défense des bateaux de commerce, le quatrième critères et le fait d’implanter des basses maritimes ou les navires pourront être ravitailler et réparer, et le dernier critères essentiel pour lui est le fait de posséder un empire qui peut fournir en matières premières nécessaire a l’industrie et cet empires constitue un marché pour les produit fini. Voila les points essentiels selon Mahan qui fait qu’une puissance puisse se développer pleinement à travers le monde. Dans plusieurs de ses ouvrages il évoque l’empire Britannique, car pour lui cette empire remplissais tout les critères et c’est se qui en a fait une des plus grande puissances du 19eme siècle. Cette pensé a exercé une influence énorme pour les états unis surtout ce qui leur a permit de devenir la première puissance mondiale, et qui les toujours de nos jours, en étant la première puissance maritimes mondiales.
De nos jours à travers le monde les mers et océans représente une convoitise énorme pour tout pays confondu. Les enjeux sont tout autant territorial qu’au niveau des ressource que l’on y trouve. Les principale convoitise autours des mers et océans s’exerce à travers les ZEE et leurs extension, plusieurs zone géographique sont source de conflits, comme dans la mer de Chine méridionales ou plusieurs territoires revendique leur ZEE, ce conflit et du au faite que les iles Spratleys, Paracels, Pratas, etc. Tout ses territoires sont principalement inhabités, mais certaines sont occuper militairement, la plupart de ses iles sont revendiqués par plusieurs territoire pour les territoire de pêche, mais aussi car ses territoires sont en plein milieux d’une position stratégique dans le transit maritime. Depuis toujours les mers et océans ont été sujet de convoitise, par exemple la guerre du golfe en 1990 est du au faites que l’Irak a attaqué et annexé le Koweït car il voulait une plus grande façade maritimes, et que ce territoire possède énormément de ressource, ou plus ressament encore avec l’annexion de la Crimée en 2014 par la Russie. Mais depuis toujours les mers et océans sont des territoires convoités, et le seront toujours car se sont des territoires riche en tout types de ressource. Mais ces territoires sont encore très peut connu est exploiter car de nos jours on connaît plus l’espace que nos propres mers et océans.
Suite à l’arriver du nucléaire, et l’enjeu majeur que représente les mers et océans, les deux grand états possédant ses deux critères était les deux grandes puissance mondiale de l’époque états unis et URSS mais, l’arrivée de nouveaux acteur dans cette dissuasion nucléaire par les mers et océans a permit a de nouvelle puissance de s’affirmer encore plus tel que la chine ou encore l’inde. Cette dissuasion nucléaire par les mers et océans à permit au puissance de montrer leur puissance dans les conflits internationaux pour calmer les tension et dire au autres puissance que les moyens de défense et d’attaque se sont accrue au cours du temp. Pour les puissance le fait d’avoir une projection de puissance est pour eux une dimension fondamentale de la puissance maritimes, utiliser en temps de crise ou de guerre cette dissuasion consiste à se tenir prêt a une frappe ou à faire peur à l’adversaire grâce a l’aide de groupe aéronaval articulés autour d’un porte-avions. Par exemple en 2019 les états unis ont fait pression en déployant le porte-avions Abraham Lincoln à proximité de l’Iran, car il était accusé de vouloir se doter d’une force nucléaire. Cette dissuasion peut éviter les confrontations direct mais permet aussi d’apporter son soutien à une manœuvre diplomatique.
La dissuasion nucléaire passe par l’utilisation de capital ships qui intégrés les bâtiments maritimes de guerre les plus important, parmi ses capital ships on en retrouve deux principaux essentiel dans la dissuasion nucléaire, les SNLE et les SNA. Les SNLE sont des sous-marins a propulsion nucléaire destiné a la seule tache de dissuasion nucléaire, et les SNA sont quand a eux des sous-marins nucléaire d’attaque, donc ce sont des sous-marins a propulsion nucléaire ayant pour mission la détection de sous-marins adverses, et ses SNA assure la protection ou l’offensive contre des navires, mais ils permettent aussi l’action contre la terre avec des missile de croisières. Les SNLE eux possèdent des missile balistique nucléaire d’un porter importante par exemple en 2009 l’Inde a inaugurer sont premier sous-marins nucléaire le Arihant qui lui possèdent un missile qui est le Agni V qui a une porté de 5000 kilomètre ce qui permet a l’Inde une dissuasion sur l’ensemble de l’Asie mais aussi sur l’Afrique et l’Europe de l’est. Cette dissuasion nucléaire se fait exclusivement par les mers car elle permet une porté mondiale, mais aussi une discrétion irréprochable car les sous-marins sont très difficilement repérables, c’est ce qui en fait une force énorme pour les puissance la possédant.
Les mers et océans révèlent beaucoup d’enjeux pour les puissance, mais elle permettent au puissance une projection de leur puissance militaires a travers les capital ships qui eux permette une projection de la puissance de la mer vers la terre, par exemple les porte-avions on une porté phénoménale, car ils peuvent se déplacer autour des mers et océans et les avions de types rafales permettent une protection et une surveillance des terres dans le monde entiers, de nos jour le Charles de gaulle permets une surveillance de la méditerrané mais aussi grâce au avions supersonique une surveillance de l’Afrique du nord et de l’Europe de l’est, comme dit percement les SNLE et SNA permettent eux aussi une protection et une défense très large dans le monde entiers. C’est se qui fait que les mers et océans sont des territoire ayant de fort enjeux pour les puissance, car ils permettent une dissuasion mondiale de leur puissance et de leurs capital ships.
De nos jours on sait que la course au mers et océans a crée aussi une course à l’armement naval ce qui a entrainé des rivalité géopolitique pour les puissance, car cela permet des capacités de projections maritimes énormes. On sait que les puissance et les pays en développement cherche à tout prix a s’aligné sur la course à l’armement pour être présent dans la force de dissuasion nucléaires mais aussi pour s’affirmer au niveau géopolitique mondial. Par exemple on se souvient tous du choc qu’a crée la rupture du contrat entre la France et l’Australie, car la France devait livrée 12 sous-marins a l’Australie ce qui aurais permit a l’Australie de rentre dans la course a l’armement naval, mais aussi un bénéfice énorme pour la France ce qui lui aurais permit pour plus tard d’elle aussi d’investir dans l’armement naval, mais ce contrat a été rompu et l’Australie s’est tourné vers les Etats-Unis pour lui fournir ses sous-marins. Cela à crée des tensions entre la France et les Etats-Unis au niveau économique mais aussi militairement. De plus les nouveaux acteur tel que la chine ou encore l’inde sont en pleine course a l’armement naval pour essayer de revenir sur les puissance naval. Par exemple la Chine a dépassé la France au niveau des porte-avions et en possèdent aujourd’hui 3 bientôt 4 contrairement à un seul pour la France. On sais que cette course a l’armement naval à son importance majeurs pour les puissance puisque les mers et océans sont des territoire a fort enjeux d’un point de vue militaire, géopolitique, mais aussi économiques.
Discipline : Histoire Géopolitique-Science Politique
Établissement : Lycée La Mennais
Niveau : Terminale
Année : 2020
Info
Un résumé de la démarche de mise en œuvre ou de création :
Titre de la leçon : « Produire de la connaissance scientifique : recherche et échanges des hommes et des femmes de science sur la question de la radioactivité de 1896 aux années 1950 »
Comprenant deux activités aboutissant à deux productions : une chronologie à réaliser, un jeu de rôle à rédiger. L’approche est historique.
Dans la première, il s’agit de construire des repères sur cette histoire scientifique et de montrer le caractère international de l’entrée dans l’âge nucléaire (comprenant également la Polynésie française par les essais atomiques : l’inscrivant ainsi dans une plus longue histoire du fait nucléaire). Dans la seconde activité, les élèves sont mis dans la peau de scientifiques en rédigeant à deux une correspondance entre un scientifique américain (R. Oppenheimer, le « père de la bombe atomique ») et un(e) scientifique français(e) du CEA). Ils ont à leur disposition des documents pour les aider à l’écrire. Cette correspondance met l’accent sur le rôle des Etats et les débats issus de la radioactivité durant la Seconde guerre mondiale et la Guerre froide.